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    Misstress Barbara / I’m No Human / Energia Productions

    14 juin 2009, 12h05
         |      Article rédigé par Yves Tremblay

    Voici un premier album de titres originaux pour la DJ techno et house montréalaise, un album sur lequel elle chante pratiquement du début à la fin. Par rapport à ce à quoi elle nous a habitué jusqu’ici, elle surprend aujourd’hui avec une électro tantôt pop, tantôt sombre, souvent poétique et prenante. Par exemple, sur le titre Etna, en référence à la déesse d’un volcan sicilien du même nom, elle susurre, incandescente, en anglais et en italien avec un certain détachement.

    Misstress Barbara / I’m No Human / Energia Productions

    L’exercice n’est pas sans rappeler une certaine Miss Kittin, accompagnée d’un piano, de sinistres synthés et d’un rythme trip hop, mais le résultat se révèle probablement plus réussi que les derniers efforts de la Suisse-allemande. Pour le titre « J’étais une fleur », Mademoiselle Stress chante en français avec sensualité, grâce et romantisme. Cette approche douce amère emprunte parfois un ton mélancolique et feutré, parfois rythmée et intense, et elle parcourt ainsi tout le disque, avec de fins arrangements mi-house mi-pop-rock, qui peuvent rappeler les prouesses de Matthew Dear (Asa Breed) , la house minimale de Gui Boratto ou encore Ferenc. Un brûlant nouveau départ, comme le suggère d’ailleurs la pochette de l’opus.

    Accompagnée des guitares et du charismatique compatriote Sam Roberts (I’m Running) pour le premier extrait vidéo, elle fait aussi appel à d’autres collaborateurs de renom, Sweet Bjorn Yttling (de Peter, Bjorn & John), ou encore les New-Yorkais Brazilian Girls.

    Malgré son titre nihiliste, elle sait se montrer plus humaine que jamais, avec des textes personnels, de la classe et des titres accrocheurs. L’album offre une moitié destinée au plancher de danse (Four On The Floor, I’m No Human, Talk To Me...) et l’autre, quelque part entre post-rave et pop romantique. Une délicieuse féminité existentialiste, qu’elle partage en outre, sur une reprise arrache-coeur de la chanson de Leonard Cohen, Dance Me To The End Of Love.

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