Clara Fernandez-Vara (MIT) veut donner le pouvoir au joueur
Les dangers ne manquent pas pour les joueurs. Entre éviter les balles d’ennemis extraterrestres et combattre les zombies à notre poursuite dans un manoir hanté, rares sont les occasions où le joueur se sent tout puissant. Une option qu’a pris le titre Castlevania : Symphony of the Night où le joueur, malgré un contexte de jeu dans le registre de l’horreur, est beaucoup plus puissant que ses rivaux. « Dans ce jeu, on se bat contre toutes ces créatures qui nous font normalement peur : des zombies, de loups-garous, des hordes de morts-vivants, explique Clara Fernandez-Vara du MIT. On en tue tellement que l’on finit même par trouver ça banal. » Un renversement de situation qui propose une autre approche du jeu vidéo d’horreur. Le Lien MULTIMÉDIA a rencontré Clara Fernandez-Vara lors du colloque Thinking After Dark.