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    Zone Flashback au Festival Arcadia : entrevue avec Sarah Szefer
    [En direct d’Arcadia]

    Zone Flashback au Festival Arcadia : entrevue avec Sarah Szefer

    8 novembre 2008, 12h49
         |      Article rédigé par [Michael Bertiaux]     

    Pour la quatrième année consécutive, la zone Flashback au Festival Arcadia plonge petits et grands dans une véritable machine à remonter le temps des jeux vidéo. De l’Atari à la Super Nintendo, les générations y sont bien représentées avec l’aide de classiques indéfectibles : Bust-A-Move, Mortal Kombat 3, Super Smash Bros., Contra 3 : The Alien Wars, Chu Chu Rocket. et bien d’autres. Le Lien MULTIMEDIA a profité d’un rare moment où la principale responsable, Sarah Szefer, ne jonglait pas avec des visiteurs affamés de nostalgie et lui a décroché cet entretien.

    Lien MULTIMEDIA (Le Lien) : L’espace rétro est de retour en cette quatrième édition du Festival. Quel est votre sentiment par rapport à l’événement montréalais, comparativement aux années précédentes ?

    Sarah Szefer (S.S.) : D’abord, je pense que le Festival Arcadia est beaucoup mieux placé, étant au centre-ville, à côté des centres commerciaux. (NDLR : En 2005, le Festival avait pignon sur rue au CEPSUM de Montréal. Puis, au cours de la période 2006-07, ses installations se déployèrent au Stade Uniprix.) Cela simplifie la vie de tout le monde et offre une visibilité accrue. Il y a plus de chances qu’un visiteur achète un billet sans connaître l’événement à l’avance. Côté intérieur, j’aime les séparations par sections car le niveau de bruit est moins élevé par rapport aux années passées. Ces divisions apportent de l’originalité. En même temps, c’est plus de travail logistique. Je trouve qu’en terme d’exposants c’est décevant. On a perdu Rockstar, une compagnie qui avait participé à l’événement trois années de suite. Les éditeurs ne semblent pas se démarquer. Le Festival gagnerait beaucoup en visibilité avec des compagnies comme SEGA, Bioware, etc.

    Le Lien : Êtes-vous satisfaits de la configuration de votre aire privilégiée ?

    S.S. : C’est en quelque sorte un rappel des deux premières éditions. En 2007, nous avions misé sur un look hi-tech, mais l’ambiance était devenue austère. Je dois admettre que le ’stage’ était mieux l’an dernier avec son écran géant. J’aime le fait que nous avons un look plus ’salon’ avec un retour marqué des vieux téléviseurs. Parfois c’est un casse-tête car elles nous lâchent en pleine action !

    Le Lien : Sur quel(s) critère(s) basez-vous vos choix de jeux dans la zone Flashback ?

    S.S. : La jouabilité, si le jeu est connu ou pas. Il est important que les visiteurs soient en mesure de jouer rapidement tout en étant motivés. Nous avons, entre autres, deux Playstation 2 avec des compilations de classiques NeoGeo, console que nous n’avons pu emprunter cette année.

    Le Lien : Il semble que le personnel en charge, la plupart membres du Club des Collectionneurs de Jeux Vidéo (CCJVQ) et bénévoles, ait été revu à la baisse. Est-ce seulement une illusion ?

    S.S. : Les autres années comptaient une dizaine de personnes dans l’organisation. Différentes circonstances ont apporté moins de personnes au festival, ce qui a créé plusieurs épreuves logistiques à surmonter. On s’en est bien tiré à une seule semaine d’intervalle. C’est beaucoup en peu de temps. Nous sommes de vrais « faiseux de miracles » avec des bénévoles extraordinaires. Les pépins techniques sont réglés avec aisance et expertise. Il y a de quoi être fiers de s’être débrouillés avec si peu de moyens.

    Le Lien : Avez-vous remarqué quelque chose de spécial depuis votre arrivée ? Un événement hors de l’ordinaire ou un fait saillant ?

    S.S. : Il semble manquer d’ambiance au quatrième étage, peut-être qu’il est encore trop tôt. C’est un peu mort côté visiteurs, comme à chaque vendredi des autres années. Le gros de la partie se jouera demain (lire : le samedi 8 novembre 2008). J’aime quand même mieux ça qu’un festival traditionnel surtout pour l’originalité.

    Le Lien : Le Festival Arcadia connaît certaines difficultés financières, ce n’est pas un secret. Connaissant davantage ce qui se trame « derrière la scène », craignez-vous que le festival soit en danger d’extinction ?

    S.S. : Le Festival a des problèmes financiers. En fait, il est poursuivi par ses anciens fournisseurs de l’année dernière en raison de non-paiement. Peut-être, avec la visibilité de cette année, il va faire volte-face. Chaque année, on craint de le voir disparaître. Je trouve difficile de comprendre comment le Festival peut avoir des difficultés financières alors qu’une grande partie de sa main-d’oeuvre est constituée de bénévoles. S’il revient, la zone Flashback inclura les consoles GameCube, Playstation 2 et Xbox. Arrivé ce moment, il y aura eu suffisamment de temps écoulé pour accueillir cette génération dans le rétro. Pour nous aussi, il est difficile de se renouveler. Chaque année on en apprend un peu plus grâce à une équipe de vétérans.

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