Musique et Internet : les politiciens ont une responsabilité
La venue du Web et de ses processus d’échanges a lancé un sérieux défi aux artisans des industries culturelles, particulièrement de la musique, qui doivent s’assurer un revenu. « À mon avis, la classe politique ne prend pas ses responsabilités à l’égard de cette technologie », pense Jean-Robert Bisaillon. Pour démêler l’affaire, il lançait, avec l’appui de la Société professionnelle des auteurs et des compositeurs du Québec (SPACQ), le petit guide Internet pour les auteurs et les compositeurs. Le Lien MULTIMÉDIA s’est entretenu avec l’auteur pour connaître sa position.