Le parcours de Geneviève Dulude-De Celles est en quelque sorte indissociable de celui de Colonelle Films. Dès sa sortie de l’Université du Québec à Montréal, la réalisatrice écrit son premier court métrage, « La coupe ». Cette percée dans l’industrie audiovisuelle québécoise se fait grâce à l’aide en (...)
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La direction générale du cinéma et de la production télévisuelle de la Société de développement des entreprises culturelles (SODEC) soutiendra 10 projets dans le cadre de son programme d’aide à la production, volet 3 (aide sélective à la production de moyens et longs métrages documentaires ̶ oeuvres (...)
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Suite au premier tour de vote des membres de l’Association québécoise des critiques de cinéma (AQCC), les films suivants ont été déclarés finalistes des prix annuels de l’AQCC (en ordre alphabétique) :
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À la suite du rayonnement d’« Une colonie », Geneviève Dulude-De Celles poursuit sa lancée en développant un prochain long métrage, « Fleur bleue », qui a déjà obtenu l’aide à la scénarisation de la part de la SODEC en décembre dernier. Neuf mois plus tard, la réalisatrice et ses partenaires de Colonelle (...)
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La 34e édition du Festival International du Film Francophone de Namur (Belgique) – FIFF (27 septembre - 4 octobre 2019) se prépare activement. Après l’annonce du film d’ouverture « Chambre 212 » de Christophe Honoré (France/Luxembourg/Belgique), le Festival lève le voile sur les sept premiers films (...)
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Productrice d’une douzaine de courts métrages et réalisatrice d’une poignée de films, Geneviève Dulude-De Celles montre la voie sur comment traiter l’adolescence avec l’image. Retour sur la carrière d’une réalisatrice à part, récompensée en 2018 pour son dernier long métrage « Une colonie (...)
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Si l’an dernier, la restructuration de l’horaire éliminant les avant-premières pour la presse avait semé une petite grogne auprès des journalistes et des critiques, c’est plutôt la marche des 82 femmes menée par la présidente du jury de l’édition 2018, Cate Blanchett, et la cinéaste Agnès Varda qui (...)
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Funfilm distribution et Colonelle films sont ravis que le film « Une colonie » ait récolté au FICFA le prix « La Vague UNIS TV » du Meilleur long métrage de fiction canadien. Le jury du festival acadien a couronné le long métrage lors de la soirée de clôture qui s’est déroulée vendredi dernier à Moncton, au Théâtre Capitol.
Poursuivant l’exploration amorcée avec le documentaire « Bievenue à F.L. », Geneviève Dulude-De Celles campe l’action d’« Une colonie », son premier long métrage de fiction, dans une école secondaire. Très intéressée par la question du rite de passage, elle a voulu dans ce film-ci aborder l’enjeu sous l’angle du passage de l’enfance vers l’adolescence. « Ça recoupait aussi mon précédent court métrage "La coupe" où je mettais en scène une jeune fille de douze ans et j’évoquais ce même thème. C’était donc une façon de boucler la boucle avec mes deux précédents films », indique la cinéaste en entrevue à l’occasion du Festival de cinéma de la ville de Québec.
Fondée en 2012, Colonelle Films mise sur le cinéma de la relève. Après 7 courts métrages de fiction et 3 longs métrages documentaires, les trois cofondatrices, Sarah Mannering, Fanny Drew et Geneviève Dulude-De Celles s’attaquent à leur premier long métrage de fiction intitulé « Une colonie ». Réalisé par cette dernière, le film raconte le passage de l’enfance vers l’adolescence de la jeune Mylia. Alors que le tournage vient tout juste de s’achever, Fanny Drew fait le point lors d’une entrevue avec Qui fait Quoi.
En plus d’agir à titre de productrice au sein de la boîte de production Colonelle Films, Geneviève Dulude-De Celles réalise ses propres projets. Faisant suite au court métrage « La coupe » et au documentaire « Bienvenue à F.L. », elle s’attarde à son premier long métrage de fiction « Une colonie » où l’on suit Mylia, une jeune adolescente qui fait son entrée à l’école secondaire. « Elle fait un certain nombre de rencontres qui l’amènent à découvrir qui elle est et comment elle veut se projeter dans l’avenir », décrit la réalisatrice quelques jours après la fin du tournage.
Le documentaire a été porteur, depuis les années 1960, de toute la cinématographie québécoise. De Michel Brault, Pierre Perreault ou encore Gilles Groulx, elle s’est construite sur le genre. Mais les temps sont durs pour le documentaire. L’Observatoire du documentaire tire la sonnette d’alarme, alors que le gouvernement fédéral réfléchit à la culture dans l’ère numérique et que le Québec prépare sa nouvelle politique culturelle.
Plusieurs cinéastes documentaires se sont rassemblés dans les bureaux de l’Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec (ARRQ) afin de faire entendre un cri d’alerte concernant l’avenir du cinéma documentaire au Québec. Épuisés par le manque de ressources, ceux-ci en appellent à un changement de modèle de financement afin de redonner les lettres de noblesse à ce genre si important du 7e art. Retour en image de cette discussion animée entre les cinéastes et les médias.
Créé majoritairement à partir d’entrevues d’élèves de l’école secondaire Fernand-Lefebvre de Sorel-Tracy, le documentaire « Bienvenue à F.L. », le tout premier de Geneviève Dulude-De Celles, nous plonge dans les réflexions et les aspirations de quelques adolescents québécois. Amorcé autour du projet « Inside Out », cette expérience photographique grand format, internationale et participative, suit dans leur quotidien quelques candides jeunes, pour qui s’achève l’adolescence et débutera bientôt l’âge adulte. Il était projeté en première mondiale au TIFF en septembre et aux RIDM en novembre dernier.
3.14 *Collectif et Colonelle films soulignent que « Bienvenue à F.L. », premier long métrage documentaire de Geneviève Dulude-De Celles (« La Coupe »), sera présenté en première québécoise, en compétition nationale longs métrages, aux 18es Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM), les 14 et 18 novembre prochains, en présence de la cinéaste.
3.14 *Collectif et Colonelle Films nous informent de la sélection de « Bienvenue à F.L. », un film de Geneviève Dulude-De Celles au Festival International du Film de Toronto ! Il s’agit d’une première mondiale pour le long métrage documentaire.
Productrice et cinéaste prometteuse, Geneviève Dulude-De Celles est en nomination pour obtenir le prix du meilleur court métrage dramatique dans le cadre des prix Écrans canadiens 2015 grâce à son film « La coupe ». « Je suis contente de pouvoir m’immiscer davantage dans l’industrie canadienne du cinéma anglais. On a l’habitude de surtout côtoyer le milieu québécois », constate la réalisatrice en entrevue.
Xavier Dolan qui remporte le Prix du jury, Atom Egoyan et David Cronenberg en compétition officielle, Stéphane Lafleur et Marie-Josée Saint-Pierre à la Quinzaine des réalisateurs et Rémi St-Michel à la Semaine de la critique : riche présence canadienne cette année au Festival de Cannes, ce qui a emmené, d’ailleurs, la directrice générale de Téléfilm, Carolle Brabant, a parlé de 2014 comme « l’année du Canada ».
Chose étrange, le fameux tapis rouge du Festival de Cannes n’a pas encore été installé. En revanche, l’affiche géante de la star italienne Marcello Mastroianni, emblème de cette 67e édition, est bien en vue. Acteurs, réalisateurs, producteurs, distributeurs, journalistes – sans oublier les badauds et les chasseurs d’autographes – ont commencé à affluer. Le plus grand rendez-vous mondial du septième art commence le 14 mai.
Premier court métrage professionnel de la réalisatrice Geneviève Dulude-DeCelles, ainsi que de la jeune maison de production Colonelle films, le court métrage de fiction « La coupe » a été sélectionné dans la compétition des courts métrages narratifs du Sundance Film Festival. Cet événement, qui se tiendra du 16 au 26 janvier 2014 à Park City (Utah), s’avère une excellente rampe de lancement pour cette production comme pour toute production. Nous avons rencontré Geneviève Dulude-DeCelles pour discuter du film.